Le bilan - Jeremy
Bilan post-covid de Jeremy Bonder
Dans cet épisode, on a discuté avec Jérémy. On a parlé de l’importance de la famille, de rêve olympique, de motivation et de un tout petit peu de Mike Horne. On vous laisse découvrir tout ça.
Comment vas-tu (après ces 2 mois extra-ordinaire) ?
Après avoir passé 2 mois à m’entraîner comme jamais dans mon 60 m², je vais très bien et mon entourage aussi ce qui est le plus important pour moi !
Comment vont tes projets ? Est-ce que le confinement as-eu un impact – financier, organisationnel, philosophique ? Négatif, ou positif bien sûr !
(pas compris lol)
Ces 2 mois de confinement ne changent pas fondamentalement mon projet. A court terme j’ai dû me réorganiser sur la partie sportive en réorientant mes objectifs de compétition vers des projets extérieurs. Pour ce qui est de ma situation financière, elle n’est pas facile mais je continue mes démarches commencées en début d’année pour professionnaliser ma pratique en créant un staff autour de moi sur lequel je peux me reposer.
Au final cette situation si particulière que nous vivons ne fait que nourrir cette soif de rêve Olympique !!!
Chez Arkose, on parle beaucoup de “Développement Durable”, de RSE (Responsabilité Sociétal de l’Entreprise, de carbone… Qu’est-ce que ça veut dire pour toi ? Est-ce qu’il y a des sujets plus difficiles que d’autres ? Est-ce que tu aurais des exemples d’actions simples à partager, que tu mets toi-même en place au quotidien ?
Je pense qu’il faut changer nos habitudes, pour un avenir meilleur et surtout durable. Il est vrai qu’en tant que sportif de haut niveau nous sommes amenés à beaucoup nous déplacer (voiture, avion) ce qui a un impact négatif pour la planète. Peut-être qu’à l’avenir on trouvera des solutions pour minimiser ou optimiser ces déplacements.
Personnellement j’essaie, dans la mesure du possible, de prendre les transports en commun afin de minimiser mes déplacements en voiture surtout quand je suis seul.
On parle aussi pas mal « d’athlète à impact positif » ou « d’athlète à mission » au sein de Be The Hero. De « simples jolis mots compliqués », ou est-ce que cela résonne en toi ? Si tu devais utiliser tes propres mots, comment le dirais-tu ?
Pour moi être un athlète à impact positif passe par les valeurs que je véhicule. Si je peux inspirer, motiver, rendre heureux des personnes j’en suis le premier émerveillé. J’aimerai dans l’avenir trouver du temps pour m’investir dans une association pour partager certaines valeurs. Le partage est pour moi essentiel à ma vie ce que je fais déjà quand je suis avec les jeunes de l’équipe !
Un dernier mot, une dernière idée, une petite citation ?
« On rêve trop souvent les yeux fermés, il faut plutôt rêver les yeux ouverts ! » Mike Horne
